Comme le vent soufflait avec vigueur hier sur Marseille, ai eu envie de prolonger la lecture et l’écoute du passionnant billet que consacre Syntone aux sons inouïs au grand air. Pas un son unique de vent, est-il écrit. J’ai vérifié. Dedans. Dehors. Depuis toujours, les manifestations sonores du vent excitent l’imaginaire, lis-je plus loin. J’avoue qu’à la seule écoute des sons du vent, je voyage loin. Vers le grand large. Jusqu’en Chine parfois où vent se dit fēng 风, prononcé curieusement sans un souffle, à l’intérieur de la bouche.
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