Jacques, c’est mon beau-frère. Jacques a une âme de poète. Jacques écoute et partage. Jacques siffle du matin au soir. Mozart, Wagner, Pavarotti, La Marseillaise. Jacques parle aussi le langage des oiseaux. Dans la forêt de Biscarrosse, il a bien failli s’envoler les rejoindre là-haut. Jacques, j’en suis sûr, se transformera en oiseau lorsqu’il ne sera plus de ce monde-ci. Ce monde où l’on a tant de mal à s’ouvrir à d’autres langages. À se laisser séduire par la différence. À écouter ce qu’elle nous dit de ce que nous sommes. Pluriels dans ce monde de vivants.