Avec mon fils Marius, n’avons pas pu résister à l’appel de la grande marée. Nous sommes posés un peu en retrait par rapport au front de mer et avons laissé l’océan nous raconter. Lorsque le soleil ne nous a plus donné signe de vie, sommes remontés boire un thé et un chocolat chaud. Un léger goût de sel imprégnait mes lèvres. Les cheveux trempés d’embruns, Marius souriait.