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Entre deux eaux (ou plus)

Me suis réveillé entre deux eaux. Ou plus. Perdre les eaux. En eaux troubles. Je ne boirai pas de ton eau. Eau précieuse. Eaux Bonnes. Marcher sur l’eau. Se noyer dans un verre d’eau. Les eaux du Gange. La goutte d’eau qui fait déborder le vase. Que d’eau ! L’esprit des eaux, signé Aude Fournier pour Arte Radieaux. Bienfaisant pour se sortir la tête de l’eau.

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L’eau donne le tempo

Surpris par la pluie nous avons été hier-soir. Une de ces pluies qui ravive les souvenirs d’hiver mais dont le tempo sur la terrasse donne envie de battre la mesure d’une danse enfantine. Me suis souvenu alors de l’étonnant moment de radio proposé fin janvier par Thomas Baumgartner dans son Atelier de la création sur France Culture. Il recevait ce jour-là le pianiste Andy Emler et son Steinway. Écoutez. Magique.

L’intégralité de l’émission s’écoute par ici.

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Le ruisseau des Sauvasses

Mon ami Jean m’a encore gâté. Quelques jours après son océan de l’Algarve, il m’adresse une carte postale sonore depuis la Vallée de la Blanche, dans les Alpes de Haute-Provence. Grand amateur de promenades en montagne, Jean est tombé sous le charme d’un tout petit ruisseau entre deux champs. La carte a été postée depuis le hameau des Sauvasses sur la commune de Montclar, à 1.400 mètres d’altitude.

Cette carte sonore m’évoque les montagnes où j’ai marché jadis. Elle m’emmène aussi vers celles où je rêve de cheminer un jour, comme ces montagnes du Japon dont les Haïkus racontent de si belle manière le charme et le mystère.
Azalées en fleur,
dans le village de montagne
blancheur du riz cuit
Buson
La Vallée de la Blanche, c’est par ici

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La fontaine

J’habite à deux pas de cette fontaine.

J’ignore où elle prend naissance.

Nuit et jour elle est vivace, même en été lors des grosses chaleurs.

A la claire fontaine

À la claire fontaine m’en allant promener
J’ai trouvé l’eau si belle que je m’y suis baigné.*
Sous les feuilles d’un chêne, je me suis fait sécher.
Sur la plus haute branche, un rossignol chantait.*
Chante, rossignol, chante, toi qui as le cœur gai.
Tu as le cœur à rire… moi je l’ai à pleurer.*
J’ai perdu mon amie sans l’avoir mérité,
Pour un bouton de rose que je lui refusai…*
Je voudrais que la rose fût encore au rosier,
Et moi et ma maîtresse dans les mêmes amitiés.*

 *Il y a longtemps que je t’aime

Jamais je ne t’oublierai

Chanson populaire traditionnelle

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