À la demande générale, l’intégrale des épisodes de ce feuilleton sonore et convivial.
Rendez-vous l’hiver prochain pour d’autres gourmandises.
À la demande générale, l’intégrale des épisodes de ce feuilleton sonore et convivial.
Rendez-vous l’hiver prochain pour d’autres gourmandises.
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Des cochonnailles, Pierrot en a vécu tant et tant depuis l’enfance. C’était à la campagne. Mémoire intacte. Rien que de bons souvenirs de partage. (à suivre)
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Tranches gourmandes, haricots blancs, vin de pays. Les cochonnailles s’achèvent autour d’un bon repas. Et comme les Béarnais adorent chanter dans leur langue, ils chantent. Bèth cèu de Pau, entre autres. Plaisir de les écouter. Bonheur de partager des mots, des sons et des souvenirs toujours vivaces. (à suivre)
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Pendant que le pâté cuit, sortir boyaux de porc et machine ad hoc. Fabriquer les saucisses. (à suivre)
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Une fois les boîtes remplies, les entasser dans la lessiveuse. Remplir d’eau à ras bord et lancer la cuisson du pâté. (à suivre)
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Préparer le pâté. Hacher l’ail et les herbes, puis mélanger, brasser la viande dans une grande bassine. Avant la mise en pots. (à suivre)
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Pendant que le hachoir poursuit son œuvre, il faut peler des dizaines de gousses d’ail. Prendre des gants. Odeur tenace. (à suivre)
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Une fois salée, cette viande il faut la hacher. Mécanique, ce bruit de gorge qui rend la chair à saucisses. (à suivre)
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Les cochonailles. Ce sera comme un feuilleton. Rite hivernal dans les campagnes. Ici en Béarn. N’entendrez pas le cochon hurler juste avant d’être abattu. N’a pas sa place ici, ce cri. Insupportable. Je sais qu’il a existé mais l’ai rangé sur l’étal des souvenirs honteux. L’histoire commence avec le salage de la viande. (à suivre)
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Campagne béarnaise. Une promenade à travers hameaux, champs et bois. Un petit grillon s’exprime, à peine troublé par le frissonnement des herbes hautes sous nos pas.
Sur un coteau, des vignes.
Renoncules
Une clairière longue en remontant
Labours de printemps
La maison natale de Roger
La mare. Aux canards, forcément.
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