Dans le parc central de la Ville Neuve à Shanghai, j’ai été attiré au détour d’un bois par ce ronflement étrange émis par une joueuse de diabolo, kongzhu en chinois
J’ai aussi apprécié, assis sur un banc aux côtés de l’un de ses vieux copains, un joueur de erhu, qu’on appelle aussi violon chinois
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