Marseille. Vallon des Auffes l’autre soir. Une Harley Davidson prend son temps et finit par remonter vers Endoume. Je n’ai jamais mené de moto de ma vie. Si j’en avais l’opportunité, c’est une Harley que je choisirais. Pour le son rond et puissant du moteur. Pour l’évocation des interminables routes américaines qui traversent les USA. Pour le look aussi de ces motards souvent mystérieux et taiseux, accrochés à des guidons hauts comme des grands huit, les bottes posées sur des appui-pieds aussi larges que des passerelles de bateaux.
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