Lointaines, mes années d’école. Et pourtant si proches. Ravivées hier-matin par les voix de ces minots dans leur cour en pied d’immeuble, juste avant d’entrer en classe. Me dire que ce son-là rythma la vie d’instituteur de mon père pendant des décennies qui filèrent aussi vite que disparaît le parfum des mimosas.
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