Sur dix mètres de hauteur, la dune de Biscarrosse s’est effondrée cet hiver. Grandes marées d’équinoxe. Le sable a envahi la promenade. Un aspirateur géant suce le sable qui étouffe les platebandes. Des journées et des journées de travail non-loin des vacanciers et retraité(e)s insouciants.
À chaque fois c’est pareil. Océan ou mer, je ne peux résister à l’appel de l’eau. Là, descendre piquer une tête et se rapprocher des petites vagues froides.
Profiter encore du soleil de mai en enviant les surfeurs tout aussi courageux qu’hésitants.
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