Plus donné signe de vie depuis notre VaseCommunicant du début du mois, Rixile. N’étais pas inquiet. Me disais qu’elle avait sans doute plein de partitions à déchiffrer, à vivre et à jouer, la pianiste maîtresse de choeur. Et puis hier, ce très beau texte sur son blog. C’était un lent. Poème mélancolique. Un voyage en forme de rêve paisible où pointent quelques reflets d’un océan chagrin. La lenteur. Prendre le temps de s’échapper un peu du tourbillon. Tenter de. Savourer l’instant fugace. Plaisir de réciter ce lent survenu par surprise, en y mêlant Chopin. Choisi par elle sur Rixilement.
Nocturne en do dièse mineur (posthume).
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