En attendant le crépuscule, les hirondelles s’égayent au-dessus de toits. Haut elles volent. Leurs trissements descendent en flèche jusqu’aux maisons. Le temps d’une becquée à leurs petits et les voilà qui se lancent à nouveau vers les nuages où volent d’autres oiseaux. Plus gros et bien moins mélodieux.
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